Pensée sur l’entreprenariat d’un étudiant que des noms comme Google, Facebook ou Apple font rêver…

J’ai lu ce post de Hélène Gloux et j’ai eu envie de rebondir et de parler d’un phénomène que je ressens et que je peux observer au quotidien en tant qu’étudiant : la fascination que produisent des noms comme Google, Facebook ou Apple.

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Helping a billion people connect is amazing, humbling and by far the thing I am most proud of in my life. — Mark Zuckerberg

Bien sûr que ces noms laissent rêveur mais comment sont-ils nés ? Si personne n’avait eu cette soif d’entreprendre, si personne n’avait voulu essayer de créer un service avec sa vision, aucune de ces sociétés ne serait là, à l’heure qu’il est.

Avant de pouvoir débarquer en sweat à capuche et baskets au boulot le lendemain de l’introduction en bourse de son entreprise, Mark Zuckerberg a fait le choix de sortir des sentiers battus. Il a fait le choix de créer un service qui n’existait pas et qui pour lui, aurait un impact sur une communauté. Je ne pense pas qu’il s’attendait à ce que la communauté ciblée dans un premier temps – les universités – se transforme en une communauté mondiale de près d’un milliard d’utilisateurs actifs. Mais à la base il avait pour but de changer un usage voir même plus de créer cet usage et créer une nouvelle expérience, qui est devenue une expérience sociale.

La logique vous emmènera d’un point A à un point B. L’imagination vous emmènera n’importe où. — Albert Einstein

C’est une phrase que j’apprécie énormément et elle peut être très facilement transposée à notre sujet. La logique étant de viser des postes dans des entreprises prestigieuses et l’imagination de créer sa propre entreprise prestigieuse.

Si Larry Page, Sergueï Brin, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey, Steve Jobs, Jeff Bezos ont réussi, pourquoi pas vous ? Ils ont simplement cru en leur idée.

Bien entendu ces exemples ont non seulement eu la bonne idée au bon moment mais ce sont des gens talentueux comme peu de personnes le sont. J’ai volontairement cité des extrêmes en exemple, mais beaucoup de plus petits entrepreneurs ont réussi en croyant en leur rêves.

If you’re trying to use docks for your iphone, you’ve probably been as frustrated as I have : that’s why I designed my own. — Casey Hopkins

J’aime citer l’exemple de Casey Hopkins, son histoire est incroyable. Un jour il décide d’acheter un dock pour son iPhone, il se tourne naturellement vers le produit officiel d’Apple qui n’est pas satisfaisant pour lui, il en essaye un autre d’une autre marque, puis un autre et encore un autre tout ça pour se rendre compte qu’aucun de ces docks n’a pensé à l’usage. Bien entendu tous ces docks sont très design, rechargent très bien l’iPhone etc… Mais dans l’usage rien n’est fait pour les rendre agréables à l’utilisateur. Il a donc décidé de créer son propre dock. Sa campagne de crowdfunding sur Kickstarter est entré dans les records de Kickstarter. Il est parti d’un constat et a cru en son idée.

The Dock Apple should have made in the first place. — Wired

La prise de risque lorsque l’on entreprend implique une philosophie très importante, la culture de l’échec, une culture que la France n’a pas (pour l’instant). Mais je compte revenir sur ce sujet dans un prochain post (en attendant n’hésitez pas à regarder cette conférence TED qui traite de ce sujet).

Je n’ai pas échoué. J’ai juste trouvé 10 000 moyens qui ne fonctionnent pas. — Thomas Edison

Un dernier mot pour finir : Osez !